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Musique & vin : bonnes notes dans les rangs

Jean-Marc Piazzetta (Les Brandeaux), l'un des membres de l'équipe d'organisation © Archives SBT
CONVIVIALITÉ. Du vendredi 28 au dimanche 30 avril (avec un 1er mai en suivant pour étirer le week-end), Monestier fera battre le cœur du vignoble en croisant l'amour du rock (et jazz et salsa), du vin et des produits du terroir sur les coteaux du sud Bergeracois. Un mariage tonique !

C’est une coalition festive, pour la musique, et pour l’image du vignoble de Bergerac-Duras. Sur les coteaux de Monestier, quelques vignerons inspirés ont persévéré : les épisodes Covid ont repoussé par deux fois leur projet de festival, mais le Winestock (clin d’œil au légendaire fanal qui embrasa l’été 69) aura enfin lieu. Certes, il faut du wood et du stock pour faire du wine et le lien est tout trouvé, il faut aussi compter avec l’esprit Rock’n’ Roll que tous cultivent aussi bien que leur vin. Ils ont jeté une bouteille dans l’océan du vignoble avec leur idée et ont reçu une marée d’enthousiasme en retour, des renforts pour organiser cet hymne à la gastronomie locale et musiques réunies.

© Winestock

Convivialité assurée

Les acteurs vitivinicoles placent leur filière au rang d’une culture à défendre, avec les armes du partage et de la fête : cette édition est la première salve de rendez-vous qui devraient suivre si le coup d’essai devient un coup de maître (de chais). Vignerons, fournisseurs, prestataires de service, tous les partenaires de la filière lancent l’invitation aux amis du vin avec un copieux programme. « Le temps d’un événement, sans concurrence ni  concours, nous partagerons un bon moment autour de bons vins, de bonnes musiques et de bons repas », assurent les organisateurs, qui font rimer ruralité et convivialité avec de solides arguments : des concerts, des dégustations, biftekade, nuit blanche, foire aux vins, feria… bonne humeur de rigueur et, espérons-le, météo au beau fixe.

Ici, tout le programme

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Source et force de proposition, conception de projets médias (à l'origine du magazine Famosa et de BIEN en Périgord), passeuse d'histoires et de liens. Rigoureuse et imaginative. Journaliste de formation (Bordeaux, 1985), mes pratiques de ce métier ont pris plusieurs chemins : PQR, magazine (économie, patrimoine, vie locale), presse institutionnelle... Mes préférences vont aux portraits et reportages au long cours, aux chroniques de livres et critiques de spectacles. J'ai cocréé en janvier 2013 —  alors qu'on parlait moins de la cause des femmes, et encore moins en région — le magazine de société Famosa, bimestriel des femmes en Périgord, que j'ai animé jusqu'en septembre 2020. Ma volonté de transmettre par l'écriture m'a naturellement entraînée vers le monde éditorial au sens large, avec la rédaction de guides touristiques et gastronomiques, de nouvelles et chroniques, scénarios, textes supports de son et lumière et d'expositions... J'ai écrit ou contribué à la rédaction d'une vingtaine d'ouvrages, la plupart consacrés au Périgord, terre féconde et riche en rencontres humaines, dont je ne me lasse pas d'explorer les multiples facettes patrimoniales. J'ai aussi prêté ma plume à celles et ceux qui ont des choses à raconter, mais pas le temps ou les mots pour le dire : j'ai créé pour cela la collection Lignes de vies (biographies familiales et livres d'entreprise). Je suis membre du Club de la presse du Périgord depuis son origine.